Ce livre a été écrit à la même époque que « Le traité des cinq roues » de Miyamoto Musashi et « L’esprit indomptable » de Takuan Soho, ce qui en dit long sur le contexte historique et politique dans lequel l’écrivain à rédigé son livre.%%% Au même titre que les deux précédents livres cités, celui-ci s’intéresse également à l’art du sabre d’un point de vue technique et philosophique, à noter que Yagyû Munenori et Takuan Soho semblent avoir été de fidèles amis et que Munenori fût très largement inspiré de la pensée de Takuan. Une des particularités du livres est qu’en plus de contenir les écrits de Yagyû Munenori, une longue préface de près de 70 pages de William Scott Wilson (qui traduit l’écrit du japonais en anglais) présente l’auteur du livre ainsi que le contexte politique et historique. %%% Excellente introduction qui nous prépare à la lecture. %%% Attention, le livre a été traduit du japonais à l’anglais, puis de l’anglais au français. Ce type de traduction amène parfois quelques écarts de traductions ou libre interprétations des idéogrammes par les auteurs. %%% Mais concernant le livre à proprement parlé, il m’a été difficile de le comprendre, il semble s’adresser en premier lieu à un sabreur avancé et/ou un adepte du zen éclairé. Malgré le caractère historique dont relève la transmission de ce texte, il est clair que sa lecture demande a être approfondie. De plus, le texte est ponctué de nombreuses citations auxquelles il faut se rapporter à la fin du livre, ce qui alourdie considérablement la lecture.%%% ((/images/Livres/Le sabre de vie.jpg))%%% ”* le résumé n’engage que le rédacteur du message”