Giei Satô rejoint le temple Tôfuku-ji en 1939, d’un père moine zen, c’est tout naturelement qu’il se dirige vers son destin. %%%%%% Mais « Journal d’un apprenti moine zen » n’est pas vraiment un journal intime dans le sens ou l’auteur ne nous fait pas partagé ses sentiments personnels, ses joies et difficultés, les épreuves qu’il doit surmonter pour réussir dans la voie %%%%%% Il nous donne plutôt un petit lexique de la vie monastique au travers des rythmes et des saisons qui la ponctue, l’écriture est assez impersonnelle livre nous éclair sur la vie au sein d’un monastere zen, ses rythmes et rituel.%%% Chaque chapitre est toujours concis et ne dure que deux pages, chaque page est agrémenté avec humour d’une aquarelle de l’auteur afin de mettre en avant ses propos.%%% Au final, le livre se lit vite mais offre un intérêt limité et n’a pas le goût d’une saveur inoubliable. %%% %%% ((/images/Livres/Journal d un apprenti moine zen.jpg)) %%% ”* le résumé n’engage que le rédacteur du message”
Archives pour la catégorie Bibliothèque 本
Les Japonais de Karyn Poupée
Le titre du livre n’est pas très précis, juste « Les Japonais » !, mais de quoi va-t-on nous parler ? En fait, le livre est principalement orienté sur l’économie Japonaise et sur les comportements du consommateur Japonais. Uniquement le Japon moderne est abordé depuis l’après seconde guerre mondiale, le livre est extrêmement riche en information, statistiques, chiffres économiques en tout genre, les exemples sont nombreux, la vie japonaise courante (comprendre, la vie Japonaise moderne urbaine) est balayé en long et en large et ce jusqu’en 2008, autant dire que les exemples cités sont encore d’actualités.%%% Donc finalement ce livre est un petit (500 pages quand même !) lexique pour mieux comprendre le consommateur Japonais, ses comportements, il est écrit par une journaliste Française qui a vécu à Tokyo de nombreuses années. L’écriture est fluide, c’est un livre de ”gaijin” (littéralement « personne de l’extérieur » soit un non Japonais) pour les ”gaijin” vu par un ”gaijin”. %%% Mais les détails sont beaucoup trop nombreux, les explications répétés … on a l’impression de pouvoir résumer le livre à « le japon est devenu une puissance mondiale grâce à la puissance de ses technologies », la technologie nipponne est beaucoup trop détaillé et l’on a parfois l’impression que tout le livre tourne autour de ça …. l’on ne rentre pas à proprement parlé dans l’intimité de la vie Japonaise mais restons à l’entrée du ”konbini” (abréviation de l’anglais “convenient store” : supérette) à observer ses habitudes d’achat. Il est certain que le livre aurait pu tenir en 400 pages ou moins et aurait ainsi gagné en légèreté.%%% Ce n’est pas un livre pour qui veut découvrir, comprendre la culture ou les arts Japonais, mais plutôt affiner ses connaissances sous un angle principalement économique de ce qu’est aujourd’hui le japon. %%% %%% ((/images/Livres/Les Japonais.jpg)) %%% ”* le résumé n’engage que le rédacteur du message”
La vie quotidienne au Japon au début de l’ère moderne (1868 – 1912) de Louis Frédéric
Tout comme l’un de ses précédents ouvrage, » LA VIE QUOTIDIENNE AU JAPON A L’EPOQUE DES SAMOURAÏ », Luis Frédéric nous dépeint avec lucidité et compréhension la société Japonaise de cette période.%%% Si l’on compare les 400 pages du livre à la durée de la période analysée, l’ère Meiji (44 ans), l’on peut commencer à imaginer la densité de l’évolution de la société Japonaise. De l’aveu même de l’auteur dans son Préface : « il (le livre) ne peut-être que sommaire en regard de l’extrême complexité des problèmes qui se posèrent alors dans tous les domaines au Japon ».%%% Enrichissant.%%%%%% ((/images/Livres/La vie quotidienne au japon moderne.jpg)) %%% ”* le résumé n’engage que le rédacteur du message”