Giei Satô rejoint le temple Tôfuku-ji en 1939, d’un père moine zen, c’est tout naturelement qu’il se dirige vers son destin. %%%%%% Mais « Journal d’un apprenti moine zen » n’est pas vraiment un journal intime dans le sens ou l’auteur ne nous fait pas partagé ses sentiments personnels, ses joies et difficultés, les épreuves qu’il doit surmonter pour réussir dans la voie %%%%%% Il nous donne plutôt un petit lexique de la vie monastique au travers des rythmes et des saisons qui la ponctue, l’écriture est assez impersonnelle livre nous éclair sur la vie au sein d’un monastere zen, ses rythmes et rituel.%%% Chaque chapitre est toujours concis et ne dure que deux pages, chaque page est agrémenté avec humour d’une aquarelle de l’auteur afin de mettre en avant ses propos.%%% Au final, le livre se lit vite mais offre un intérêt limité et n’a pas le goût d’une saveur inoubliable. %%% %%% ((/images/Livres/Journal d un apprenti moine zen.jpg)) %%% ”* le résumé n’engage que le rédacteur du message”