Un récit simple, une impression de déjà lu. Un roman de ceux qu’on peut lire sur la plage, vite lu, peut-être vite oublié. %%% L’auteur, Yasushi Inoué, n’arrive pas ici à nous transporter aussi loin qu’il l’avait fait dans « Le maitre du thé », l’on n’est pas immergé dans le japon féodal comme arrive à le faire si bien de Ryôtarô Shiba dans « Hideyoshi, seigneur singe » ou « Le dernier Shôgun » %%%%%% ((/images/Livres/Le sabre des takeda.jpg)) %%% ”* le résumé n’engage que le rédacteur du message”